Pas que con, j’utilise le palan à chaîne pour placer le regard qui sert de préfiltre avant les cuves et qui pèse un âne mort.
L’altitude est importante car il y a toute une suite de pentes à respecter depuis le début de ce Légo qui démarre dès le début des descentes de gouttières, et pour ça je vais devoir lever pour caler ce regard un paquet de fois…
Les 2 collecteurs rentrent là dedans. Toute l’eau collectée subira donc un premier filtrage avec une grille inox glissée en vertical dans le regard avant de rentrer dans les cuves.
Je fais un bon nettoyage à l’intérieur des cuves, il y a un peu de gravats car pour le couplage, j’ai demandé à ce que les cuves soient carottées en partie basse pour qu’elles soient connectées. Pas question de laisser toutes ces merdes à l’intérieur avant le premier remplissage, alors je joue de l’écope et de l’éponge pour faire le clean, comme dans la cara, et oui elle prend l'eau…
Tous les perçages des cuves sont pourvus d’un joint à lèvre pour glisser un tuyau de diam 100 et assurer l’étanchéité de l'installation.
Le tuyau d’alimentation comporte un siphon et descend jusqu’au fond pour que le remplissage se fasse par le fond et qu'il n’y ait pas trop de brassage de l’eau dans les cuves.
Le tuyau horizontal en bas à gauche, glissé aussi à travers un joint à lèvre, fait le couplage avec la copine d’à côté et remplira son rôle pour les vases communicants.
Le trou vacant du haut servira d’accès pour le pompage de l’eau.
Côté sortie, un seul trop plein pour les 2 cuves au point le plus bas des 2, un siphon aussi pour éviter toute entrée non désirée dans la cuve d’odeurs et de quelque bestiole que ce soit. Tout ça direction le puisard si les cuves viennent un moment à être trop pleines.
Voilà, c’était juste 2 jours, mais c’est ça de moins à faire pour la semaine prochaine.
Ciao